« Autoportraits, de Cézanne à Van Gogh » : une exposition événement au musée Crozatier

Nom
Haute-Loire

Le 25/04/2023

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Haute-Loire

Au Puy-en-Velay, le musée Crozatier accueille l’exposition « Autoportraits, de Cézanne à Van Gogh » du 29 avril au 17 septembre, grâce au soutien exceptionnel du musée d’Orsay.

Du 29 avril au 17 septembre 2023, une exposition phare sur la thématique des autoportraits est proposée au musée Crozatier grâce au soutien exceptionnel du musée d’Orsay et de plusieurs musées de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, qui ont également accepté de participer à ce projet pour montrer la richesse des collections régionales. Ce rendez-vous qui devrait séduire un public très large a été soutenu par la Région Auvergne-Rhône-Alpes.

Peintures, sculptures, photographies, estampes : au total, plus de 70 œuvres dont 40 du musée d’Orsay ont été réunies sur cette thématique qui invite tous les visiteurs à découvrir une approche de l’art français (et au-delà des frontières de l’Hexagone) de 1838 à 1925. Parmi les artistes les plus connus exposés jusqu’au 17 septembre au Puy-en-Velay : Gustave Courbet, Camille Pissarro, Paul Cézanne, Vincent Van Gogh, Gustave Caillebotte, Charles Maurin, Clémentine-Hélène Dufau…

Site officiel du musée Crozatier

L’exposition est ouverte 7 jours sur 7, et propose de nombreux supports de médiation pour faciliter la visite d’un public familial avec, en particulier, un solide volet pédagogique. Un catalogue en coédition et un riche programme culturel accompagneront cette manifestation.

Plus de 100 rendez-vous seront également proposés dans le cadre de cette exposition : des cours de l’histoire de l’art, visites commentées, ateliers de pratiques artistiques, spectacles vivants…

Plein tarif 8 €, tarif réduit 6 €, gratuit pour les - 18 ans.

Musée CrozatierLe Puy-en-Velay (Haute-Loire)Tél. 04 71 06 62 40Ouvert tous les jours : de 11h à 18h (du 29 avril au 30 juin, sauf le 1er mai, puis du 1er au 17 septembre), et de 10h à 19h du 1er juillet au 31 août

Podcast : à l’écoute de Maud Leyoudec

Le musée Crozatier du Puy-en-Velay propose, jusqu’au 17 septembre, l’exposition « Autoportraits, de Cézanne à Van Gogh », en partenariat avec le musée d’Orsay et plusieurs musées de la Région. Rencontre avec Maud Leyoudec, conservatrice en chef.

Écouter le podcast - 12'40 minutes

L’expo en chiffres

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    œuvres exposées, dont 40 du musée d’Orsay

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    de surface d’exposition

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    espaces pédagogiques

Un riche programme d’animations

Écho Street & Land Art en Velay

Du 30 juin au 1er octobre, l’événement « Écho Street & Land Art en Velay » invitera le public à découvrir les paysages et l’architecture de l’agglomération du Puy-en-Velay, autour du thème du reflet :

  • 6 balades accessibles,
  • 6 artistes contemporains,
  • 6 œuvres éphémères.

« Laissez-vous surprendre par des sites méconnus, où les panoramas exceptionnels se mêlent à des pépites architecturales et des curiosités naturelles. »

anna.remuzon@lepuyenvelay.fr

Du mythe de Narcisse au miroir

Les plus jeunes (et même les moins jeunes !) qui liront le dossier pédagogique lié à l’exposition effectueront un voyage aussi ludique qu’instructif dans l’histoire de l’art, qui les mènera du mythe de Narcisse à la mode actuelle des « selfies », réalisés grâce aux téléphones portables.

Une petite histoire des miroirs, et une approche détaillée de l’art de l’autoportrait depuis l’Antiquité jusqu’au XXe siècle, abordant aussi bien la question des types et fonctions de cet art, complètent l’ensemble.

Téléchargez le dossier pédagogique

Expo Autoportraits - Martin
Van Gogh expo musée Crozatier

Un exercice d’introspection, mais pas seulement

Van Gogh expo musée Crozatier

« Exercice d’introspection, l’autoportrait questionne la vision de l’artiste par lui-même depuis la Renaissance. Au-delà du reflet de sa propre image, l’artiste s’interroge par ce biais sur sa place dans la société et la nature même de son art. L’histoire du XIXe siècle et du début du XXe siècle est particulièrement riche en bouleversements sociaux et artistiques. Les artistes formulent ainsi, à travers leurs propres représentations, la quête de reconnaissance de leur création en parallèle de l’émancipation du système des beaux-arts et du rejet de l’académisme des Salons. D’autres mêlent subtilement quête picturale et introspection psychologique. »