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Course à pied mythique, la Asics SaintéLyon 2025 était organisée dans la nuit du 29 au 30 novembre. Rappelons le principe de la doyenne des courses françaises : les coureurs doivent braver le froid, parfois même la neige, pour boucler le parcours !
La Asics SaintéLyon est un événement pionnier de l’ultra-trail. Le succès de ce rendez-vous sportif ne s’est jamais démenti depuis 1952. Cette « SaintéLyon », que beaucoup attendent avec enthousiasme et ferveur, a su se développer au fil des années pour devenir un rendez-vous incontournable pour les amateurs et les professionnels de la course à pied. Cette année encore, 1 200 bénévoles étaient mobilisés pour permettre l’organisation de sa 71ᵉ édition.
En plus d’être le partenaire principal de cette manifestation sportive de grande ampleur, la Région Auvergne-Rhône-Alpes était aussi en course en 2025 ! Une équipe de 60 agents de la Région a en effet pris part à l’événement.
Des formules de course pour toutes et tous !
En proposant plusieurs formules et parcours accessibles à tous les niveaux, la Asics SaintéLyon a su élaborer et maintenir « ce subtil alliage entre l’exigence de la performance sportive que nécessitent de telles épreuves et cette ambiance familiale et conviviale si caractéristique ». Pour son édition 2025, organisée dans la nuit du 29 au 30 novembre, neuf formats de course étaient proposés aux participants, attendus en solo ou en relais.
Rappelons le principe de cette course incontournable d’Auvergne-Rhône-Alpes, pour ceux qui ne la connaîtraient pas encore : comme son nom l’indique, la doyenne des courses d’ultra-trail relie donc les deux grandes métropoles que sont Saint-Étienne et Lyon.
Se déroulant fin novembre, et de nuit, elle nécessite de la part des participants d’avoir leur propre éclairage (et d’éviter de partir en tee-shirt sans manches). D’ailleurs, il est obligatoire d’emporter avec soi une couverture de survie et un téléphone portable…
Un chemin de lumière
La Asics SaintéLyon est aussi connue, auprès du grand public, pour le joli chemin de lumière que dessinent les concurrents avec leurs lampes frontales. Parmi ses caractéristiques principales, notons aussi que ce rendez-vous ne se contente pas de « suivre la route » : sur l’ensemble du parcours, il y a 35 % de route, mais surtout 65 % de chemins ! Ce qui rend le challenge des coureurs d’autant plus difficile.